La science, la cité - Vulgarisation - Commentaires"La science, la cité" par Enro, alias Antoine Blanchard2022-01-02T10:30:39+01:00Antoine Blanchardurn:md5:82e22a81528fc95c4abd5bc77b387e64Dotclear[ping] Science froide et crise des vocations - Enro, scientifique et citoyenurn:md5:81bb2e243f61722954f9bd030f47b6782008-02-17T12:28:16+00:002008-02-17T12:29:14+00:00Enro, scientifique et citoyen<p><a href="http://www.enroweb.com/blogsciences/index.php?2008/02/17/260-science-chaude-et-education-a-la-citoyennete">Science chaude et éducation à la citoyenneté</a></p> <!-- TB -->
<p>La science chaude, donc, fournit probablement un très bon support pour l'enseignement scolaire. Mais, selon Jacques D?utels, elle est aussi utile pour éduquer à la citoyenneté.
Un exemple : habituellement, l'enseignement des sciences fait...</p>Science froide et crise des vocations - Litanurn:md5:704e191de1086551e6cc41e6b1419cf72008-02-15T19:03:35+00:002008-02-15T19:03:35+00:00Litan<p>Je vois que j'ai choqué en parlant d'étudiants dilettantes en droit et je m'en excuse. Toutefois, personne n'aurait du se sentir visé, car j'évoquais des temps anciens, très anciens,...trop anciens à mon gout.</p>Science froide et crise des vocations - Enrourn:md5:f3408df6c0401fbcb1dff3c2b2fb01722008-02-14T14:59:34+00:002008-02-14T14:59:34+00:00Enro<p><strong>Cordonnier</strong> > Merci pour votre commentaire qui permet d'ancrer la discussion dans du concret. Rassurez-vous, vous n'êtes pas seul, rien que sur ce blog Yves <a href="http://www.enroweb.com/blogsciences/index.php?2008/02/01/253-controverses-et-experimentation#c10948" rel="nofollow">partageait une expérience assez similaire</a> !</p>Science froide et crise des vocations - Cordonnierurn:md5:678c4fa94cb3bc159ef1d7f634763ca82008-02-14T13:58:42+00:002008-02-14T13:58:42+00:00Cordonnier<p>Entièrement d'accord. A ceci près : je suis enseignant des Biologie-Géologie depuis plus de 30 ans ; et précisément, j'enseigne une "science chaude". Par exemple <a href="http://www.cordonnier.123.fr/IMG/pdf/1es_TP05.pdf" hreflang="fr" rel="nofollow">Faut-il avoir peur des OGM</a>, ou en utilisant des textes de Lyssenko (en préparation -- mars 2008), en utilisant la <a href="http://www.cordonnier.123.fr/spip.php?article205" hreflang="fr" rel="nofollow">magie</a>, l'<a href="http://www.cordonnier.123.fr/spip.php?article224&lang=fr" hreflang="fr" rel="nofollow">humour</a>, ou l'<a href="http://www.gfen66.infini.fr/gfen66/spip.php?article5" hreflang="fr" rel="nofollow">actualité paléontologique</a> etc.
Mais le conformisme des élèves, la <a href="http://www.lelien.org/spip.php?article53" hreflang="fr" rel="nofollow">pression de notes</a>... obligent une telle pédagogie à être une pédagogie militante (et la période n'est pas à la militance mais à l'individualisme).
Je partage votre <a href="http://gfen66.infini.fr/gfen66/spip.php?article22" hreflang="fr" rel="nofollow">critique des manuels scolaires</a>. et votre préférence pour une science de la controverse. Mais y a-t-il d'autres professeurs de sciences, aussi extra terrestre que moi, pour penser que c'est une nécessité pédagogique ?!</p>Science froide et crise des vocations - Timothéeurn:md5:74e0fcb3f808dacaf145aefb92b0d9002008-02-14T10:03:42+00:002008-02-14T10:03:42+00:00Timothée<p>@Aubemort : Il y a débat et débat, je pense. On peut avoir un débat sur des sujets tendancieux si il y a un "encadrement" scientifique (je n'aime pas le mot, ca remet le scientifique à une place 'à part'), sans que ça ne dégénère. Les risques de dérive ne sont pas négligeables, et il me semble qu'une formation scientifique un peu plus solide des enseignants est nécessaire (pas forcément en sciences dures, mais peut être en epistemo et sociologie des sciences, qui sait? je rêve éveillé…)</p>
<p>@Blop : toi aussi tu a été tramatisé par les "techniciens de la musique" et tu as mis 10 ans avant de te faire plaisir avec un instrument?</p>Science froide et crise des vocations - blopurn:md5:64523476e020327ce8c67dd4e4ffe9122008-02-13T22:43:21+00:002008-02-13T22:43:21+00:00blop<p>je ne sais pas comment le lien sur "était" est apparu :-/</p>
<p>peut-être qu'on pourrait en débattre ;-)</p>Science froide et crise des vocations - blopurn:md5:4572b8adda282568511970a7269749812008-02-13T22:42:03+00:002008-02-13T22:42:03+00:00blop<p>@Litan "droit, filière pourtant considérée naguère comme repère des dilettantes, ou pire" > <a href="http://www.20minutes.fr/article/212246/France-Militant-connu-d-extreme-droite-et-major-de-l-agreg.php" hreflang="fr" rel="nofollow">par exemple ca ?</a></p>
<p>@Aubemort > je suis d'accord, ras-le-bol du relativisme à tous les étages. Et si on commence à discuter de l'homéopathie, de l'astrologie, pourquoi pas du créationisme, du tordage de petites cuillière, <a href="http://en.wikipedia.org/wiki/Flying_Spaghetti_Monster" hreflang="en" rel="nofollow">du pastafarianisme</a>, etc. Cela dit, je fais les mêmes reproches à l'enseignement scientifique qu'à l'enseignement de la musique au conservatoire : on fait des gammes et des exercices pendant des années avant de faire de la musique et de se faire plaisir. Pour les futurs musiciens professionnels, ce sont des bases indispensables, mais cela a dégouté de la musique des générations d'enfants. L'enseignement scientifique est <a href="http://www.enroweb.com/blogsciences/index.php?post/2008/02/13/était" rel="nofollow">était</a> parfait pour donner les bases aux futurs scientifiques mais terrible pour tous les autres. Je suis content de voir qu'aujourd'hui le programme des séries L ne contient plus d'équilibrage d'équations de combustion (j'ai souvenir d'avoir dû aider ma soeur à comprendre la première phrase de son cours : "le carbone est un atome tétravalent" !!) Discuter des "enjeux planétaires énergétiques" me paraît plus pertinent et peut être traité tout à fait scientifiquement...</p>Science froide et crise des vocations - Litanurn:md5:c1dc11ef425bb4a7158bcc539e0f19502008-02-13T21:48:12+00:002008-02-13T21:48:12+00:00Litan<p>Je suis prersque d'accord, mais pas tout à fait. D'accord en ce sens que les étudiants ont des souhaits différents à mesure du développement d'un pays. Mais il appartient aux responsables du pays d'en inciter un nombre suffisant à aller vers ce qui est utile au pays en question. Car, à la limite, si tous les étudiants allaient vers les filières du sport, de l'art, des
sciences humaines, du droit, etc...que deviendrait notre PIB ?? N'irait-on pas au déclin? Le progrès appelle le progrès, car il crée toujours plus d'attentes et donc de besoins. Or, à l'heure de la mondialisation, nous ne pouvons maintenir notre rang qu'en ayant toujours un Know-how d'avance sur les pays émergents. Aujourd'hui, pour vendre des Airbus, il faut donner en prime la "façon de faire". Ce qui veut dire que, demain, nous n'aurions plus rien à vendre, si nous ne préparions aujourd'hui, à coup d'avancées scientifiques et techniques, nos futurs marchés export.
C'est typiquement une fonction régalienne que de mettre en place les incitations adéquates.</p>Science froide et crise des vocations - Enrourn:md5:1a009525808b0f3d4b5aaa8b610a95422008-02-13T21:20:13+00:002008-02-13T21:20:13+00:00Enro<p><strong>AubeMort</strong> > <q>beaucoup de gens sont persuadés qu'on ne sait en fait pas grand chose, que "tout est relatif", que les scientifiques ne sont finalement sûrs de rien et racontent beaucoup de bêtises. Est il bien nécessaire d'en remettre une couche ?</q> D'un autre côté, la désillusion n'est-elle pas plus grande quand on leur a asséné à longueur de temps que la science est universelle, rigoureuse, désintéressée, et qu'ils la découvrent telle qu'elle est, chaude, humaine, faillible ?</p>
<p><strong>Litan</strong> > Merci pour ce commentaire. Il est évident que de nombreux facteurs jouent dans l'attractivité d'une filière mais il ne faut pas se leurrer, on ne retrouvera jamais les niveaux qui prévalaient dans l'après-guerre, en partie parce que plus un pays est développé, moins ses étudiants souhaitent devenir scientifiques ou ingénieurs. On note seulement un transfert depuis la physique ou les maths vers des domaines mieux côtés comme la biologie, la médecine, les études de vétérinaire et les sciences de l'environnement qui offrent "plus de sens" dans la société actuelle.</p>Science froide et crise des vocations - Litanurn:md5:cfae91f6ae4d80bc1151eb179b6410692008-02-13T19:58:46+00:002008-02-13T20:06:25+00:00Litan<p>Ancien ingénieur, passionné de science depuis toujours et, plus récemment,de politique, la démarche de ce blog m'intéresse.<br />
La science et la technique qu'elle engendre, n'ont plus la place qu'elles devraient avoir dans la société.<br />
J'ai débuté ma carrière au début des 30 glorieuses. Ceux qui venaient des filières scientifiques avaient les meilleures places. De nombreux "techniciens" devenaient PDG.<br />
Or, insensiblement, mais inéluctablement, la tendance s'est inversée au profit du commerce et de la finance, puis du droit, filière pourtant considérée naguère comme repère des dilettantes, ou pire.<br />
On peut se demander pourquoi, alors que, sans avancées scientifiques et techniques, il n'y aurait plus de progrès.
Je vois deux causes possibles.</p>
<p>1- Le succès des filières scientifiques de l'époque a généré un appel vers elles et peut-ètre, une "surpopulation"du secteur. J'ai entendu des propos révélateurs à cet égard de la part de certains dirigeants, du style:
"les questions techniques, ce n'est pas un problème, on y arrivera toujours", rappelant la phrase célèbre : "l'intendance suivra". C'était une condamnation sans appel, pour tous les scientifiques et techniciens, à des roles subalternes.
Les commerciaux d'abord, les financiers ensuite se sont engouffrés dans la brèche et tiennent aujourd'hui le haut du pavé avec les dérives que l'on sait : faire vendre n'importe quoi par des commerciaux surdoués, sabrer les budgets de recherche et développement, sacrifier des secteurs industriels pour des profits à court terme, sous-payer les techniciens....
En conséquence, les filières scientifiques et techniques n'attirent plus les jeunes ( d'autant qu'elles restent les plus exigeantes) et, d'une situation de pléthore on se dirige vers une pénurie et une baisse de niveau.</p>
<p>2- Une autre raison du renversement de tendance, pourrait ètre l'incurie dont ont fait preuve certains patrons "techniciens" en matière de comptabilité, de gestion et de finance, poussant ainsi certains conseils d'administration à nommer des "gestionnaires avant tout".</p>
<p>Heureusement, les choses changent dans les grandes écoles à connotation scientifique où les matières non techniques ont maintenant une plus grande place.<br />
Mais les habitudes ont la vie dure et il faudra du temps avant que les scientifiques retrouvent des perspectives de carrière assez motivantes pour inciter la jeunesse à consentir quelques sacrifices.<br />
En conclusion, je souhaite que le balancier de l'histoire nous ramène à un meilleur équilibre entre les disciplines de l économie. Mais je ne pense pas qu'il suffise d'améliorer l'enseignement des sciences, qui est à mon avis excellent. Il faut aussi une sorte de révolution culturelle, dans l'opinion, c'est à dire au final, dans la classe politique, pour restaurer l'image des sciences et de la technique auprès des décideurs économiques.</p>Science froide et crise des vocations - AubeMorturn:md5:7ec3b551a6ec773e172bfd61a1a484a82008-02-13T16:49:21+00:002008-02-13T16:49:21+00:00AubeMort<p>Des débats sur l'astrologie ?!
Je suis un peu inquiète devant cette culture du débat. De plus en plus, que ce soit à l'école ou dans les médias, on cherche de moins en moins à savoir, mais à débattre.
Va t on débattre de l'existence de l'atome ?</p>
<p>De plus cette façon de faire me paraît dangereuse à un autre titre: beaucoup de gens sont persuadés qu'on ne sait en fait pas grand chose, que "tout est relatif", que les scientifiques ne sont finalement sûrs de rien et racontent beaucoup de bêtises. Est il bien nécessaire d'en remettre une couche ?</p>
<p>Je pense que les matières scientifiques sont effectivement difficiles parce qu'elles demandent un énorme prérequis. Par exemple les cursus scientifiques universitaires (ou en GE) demandent des heures et des heures de cours, TD, TP. C'est d'autant plus dur que les programmes de lycée ont été pas mal allégés. Ces études ne sont pas vraiment compatibles avec le fait que beaucoup d'étudiants travaillent. De plus on n'en voit pas trop l'intérêt: pourquoi se fatiguer alors que tout un chacun est amené à donner sa précieuse opinion lors des fameux débats, et que le monde de l'entreprise réclame avant tout des commerciaux et des consultants ?</p>
<p>On n'a même pas besoin de la moindre formation scientifique pour devenir Professeur des Ecoles...</p>Science froide et crise des vocations - Enrourn:md5:93f757bf63e8b92a741493c8ba9e7cd32008-02-13T11:03:05+00:002008-02-13T11:03:05+00:00Enro<p><b>Timothée</b> > Ces chercheurs sont conscients de la difficulté :</p>
<blockquote>D'un côté, nous souhaitons que la science à l'école change et se tourne vers la réalité, de l'autre nous ne pouvons enseigner les démarches actuelles sans avoir les outils pour les comprendre. Idéalement, nous devrions revoir la manière dont nous enseignons le savoir de base traditionnel. Cette connaissance représente une sagesse et un recul possibles lorsque tous obstacles ont été surmontés, les conflits résolus, lorsqu'est retombée la poussière des discussions enflammées La science classique peut paraître ennuyeuse, mais elle est la base d'une compréhension plus profonde des recherches actuelles. En outre, aborder ces "nouvelles frontières de la science" à l'école exige certainement des efforts de la part des enseignants, dont peu sont, hélas, préparés à présenter ces sujets contemporains.</blockquote>Science froide et crise des vocations - Timothéeurn:md5:2cdd8e046262254310ce95faf9e7ed962008-02-13T09:26:55+00:002008-02-13T09:26:55+00:00Timothée<p>Je suis tout à fait pour ce genre de choses, mais il me vient une question : se lancer dans des débats, ça demande de maîtriser le sujet, et donc d'avoir des bases "fondamentales". La meilleure solution, c'est d'introduire ces bases au fil du débat, mais la grande question est : le "système" est-il prêt à se remettre aussi fondamentalement en question?</p>Les 70 ans du Palais de la découverte - Cilouurn:md5:1ffc144f821cd327c2bcfa524174c6bc2007-11-30T12:23:06+00:002007-11-30T12:23:06+00:00Cilou<p>"on apprend que l'astrologie perd du terrain depuis 1994, à l'inverse de la sorcellerie, de la prémonition et de la guérison par magnétiseur…"
Harry Potter est en train de battre Elisabeth Tessier à plate couture.</p>Horizon 2020 : 1 objectif parmi les 12 du CNRS - Enrourn:md5:6397f8bd24216c5ab08f79badbe53a792007-10-11T21:12:29+00:002007-10-11T21:12:29+00:00Enro<p><strong>spoomette</strong> > Effectivement, la refonte du site du CNRS a entraîné de nombreux liens morts. Je viens de corriger l'adresse dans mon billet et je leur ai envoyé ma façon de penser...</p>Horizon 2020 : 1 objectif parmi les 12 du CNRS - spoometteurn:md5:f5424c7891b47b9c44742b8f6db5d0ab2007-10-11T20:34:34+00:002007-10-11T20:34:34+00:00spoomette<p>où accéder à cette version 4.2 du conseil scientifique pour 2020 ? le lien ne fonctionne pas, en tous cas pour moi ! Merci de répondre, ca m'arrangerait bien !!!</p>Nom de science - Benjaminurn:md5:cdf6c2903bf0ff5a96c2134632c57d472007-09-25T15:09:45+00:002007-09-25T15:09:45+00:00Benjamin<p>@Timothée: cette anecdote ne m'étonne pas vraiment, car le mot "vernaculaire" lui-même est tout sauf... vernaculaire. En revanche, il est très fréquent dans les écrits de Gould.</p>
<p>Sinon, vous avez remarqué dans le petit monde des bactéries, on a pas d'autre choix que le "nom de science" en latin? Curieux!</p>Nom de science - Matthieuurn:md5:df3ded4635835eee2490b0708afa17492007-09-21T14:32:43+00:002007-09-21T14:32:43+00:00Matthieu<p>pour ma part j'utilise ces noms latins pour trouver rapidement via google la traduction des noms d'animaux et de plantes. Ca facilite grandement la conversation, surtout dans les cas ou je suis à peine sûr du nom francais et mon interlocuteur à peine sûr du nom dans sa langue (oui, nous ne sommes pas biologistes/botanistes, les photos google voire les recettes marmiton s'averent utiles).</p>Nom de science - Tom Roudurn:md5:38db54601ad3c5da49d78bd8640697872007-09-21T14:19:47+00:002007-09-21T14:19:47+00:00Tom Roud<p>Enro>Je râle toujours après ces américains qui les ignorent ostensiblement dans leurs articles et font avec leurs noms communs à rallonge, genre "red palm weevil" ou "european corn borer".</p>
<p>Un truc marrant : Tribolium castaneum a pour nom commun <em>flour</em> beetle (coléoptère de farine). Diethart Tautz, dans une revue sur la segmentation parue dans Developmental Cell parue en 2004, a écrit à la place <em>flower</em> beetle (vous pouvez vérifier, l'article est en accès libre). J'ai trouvé cela extraordinaire.</p>Nom de science - Enrourn:md5:6694fef133858e9d04a849d43e76c2a22007-09-21T10:41:17+00:002007-09-21T10:41:17+00:00Enro<p><strong>Timothée</strong> > J'aime beaucoup la seconde anecdote ! Evidemment, il est bon d'utiliser le "nom scientifique" des organismes étudiées, surtout dans un cadre professionnel. Je râle toujours après ces américains qui les ignorent ostensiblement dans leurs articles et font avec leurs noms communs à rallonge, genre "red palm weevil" ou "european corn borer". Mais face à des profanes, ou même face à des collègues, je trouve que parler de "nom de science" plutôt que de "nom scientifique" a ce je-ne-sais-quoi de poétiquement innocent (un peu comme "nom de guerre", oui !)...</p>