Eva Braun, affalée sur la gauche, dégageait une horrible odeur d'acide prussique. Hitler gouttait, sans vie, son pistolet àses pieds. Il était quinze heures vingt-neuf.

Juste au moment où je termine ma lecture de La Part de l'autre avec ce passage, j'apprends la mort dans sa prison de Milosevic. La littérature a un pouvoir sur le réel toujours étonnant...