My first weblog

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vendredi 30 juillet 2004

Nouvel habillage du blog

Après avoir revu l'habillage du site il y a quelque temps, c'est mon blog qui est relifté àson tour. Le nouveau style est une personnalisation du thème rougeCiel de Maurice Svay, proposé sur son site (merci àlui ;-) ). Ca me plaît beaucoup plus, même s'il reste quelques aménagements àfaire pour que ça passe sans casse sur tous les navigateurs... Vous m'excuserez donc pour les imperfections qui vont traîner encore un peu ! Et comme il ne faut pas s'arrêter en si bon chemin, je prévois encore de retoucher le site pour améliorer la navigation, qui en a drôlement besoin. Je pourrai alors enfin me consacrer uniquement au contenu, encore maigre.

jeudi 29 juillet 2004

Courtney Love contre Kirsten Dunst

Tristant Nitot de Standblog nous l'apprend, les développeurs d'Internet explorer viennent d'ouvrir leur blog pour se mettre àl'écoute de ce que les utilisateurs disent de ce logiciel, et essayer d'en tirer des leçons pour une prochaine version... Dans un de leurs premiers billet ils récapitulent tous les échos qu'ils ont eu depuis l'ouverture du blog le 21 juillet. On trouve une liste de récriminations toutes plus justifiées les unes que les autres, notamment le blocage des pop-ups, la résolution des problèmes de sécurité, la navigation par onglets, des mises àjour plus fréquentes etc. Mais un commentaire vaut absolument le détour, c'est celui-ci :

"IEv6x is the Courtney Love browser in a world of Kirsten Dunst browsers"

Comparer IE àCourtney Love et Firefox ou Safari àKirsten Dunst... Hé hé hé ;-) !!!

mercredi 28 juillet 2004

Le faucon maltais

Je sors tout juste de la projection de Le faucon maltais (The maltese falcon, 1941, de John Huston). On ne reviendra pas sur la composition de Humphrey Bogart, qui est excellente dans le rôle de Sam Spade, le détective qui est embauché pour retrouver la statuette très précieuse qui donne son titre au film. Idem pour Peter Lorre dans un rôle, non pas de méchant comme àson habitude mais de personnage plus ambiguë bien que plutôt mauvais et vicieux. Pourtant, même sans avoir lu le livre de Dashiel Hammett dont est tiré le film, je n'ai pas trouvé ce àquoi je m'attendais, cette ambiance "hard boiled" des romans de Hammett, qui repose sur "une vision lucide et très critique de la réalité quotidienne jusque dans ses aspects pessimistes et sordides" (Francis Lacassin). En effet, comme l'a dit son digne successeur Raymond Chandler, "Hammett a sorti le crime de son vase vénitien et l'a flanqué dans le ruisseau." Or il s'avère que dans ce film, si l'intrigue n'est pas particulièrement percutante, tout repose sur le personnage de Sam Spade, son côté "vrai" et "sauvage" allié àun détachement apparent, l'absence de vénalité et la facilité àtomber amoureux des femmes qu'il cotoie...

mardi 27 juillet 2004

Où Freud éclaire d'un jour nouveau la fantasy

Je ne connais pas grand chose àla psychanalyse, et je ne lis Freud que très rarement. Or il faut reconnaître que certains de ses écrits, surtout lorsqu'ils traitent de domaines annexes àla psychanalyse, éclairent d'un jour nouveau la problématique du créateur littéraire et de l'activité imaginative, ce que lui appelait "der Dichter und das Phantasieren".

Bref, dans le texte du même nom, Freud considère l'idée suivante :

"N'omettons pas de revenir sur cette classe d'oeuvres littéraires dans lesquelles nous sommes obligés d'apercevoir non des créations libres, mais les remaniements de matières déjàprêtes et connues. Dans ce cas aussi, il reste àl'auteur une marge d'autonomie qui est autorisée àse manifester dans le choix de la matière et dans la modification de celle-ci, qui va souvent assez loin. Mais dans la mesure où les matières sont données, elles sont issues du trésor populaire des mythes, des légendes et des contes. Or, l'investigation de ces formations relevant de la psychologie des peuples (völkerpsychologischen) n'est nullement close, mais il est extrêmement probable, par exemple àpropos des mythes, qu'ils correspondent aux vestiges déformés de fantasmes de souhait propres àdes nations entières, aux rêves séculaires de la jeune humanité."

Cette réflexion sur les mythes fait beaucoup penser àRobert Paul Holdstock. Dans son livre La forêt des Mythimages (également traduit sous le titre La forêt des Mythagos), celui-ci décrit une forêt britannique qui a un pouvoir particulier : elle héberge des créatures étranges, les Mythimages, qui sont chacune modelées par l'esprit d'un visiteur de la forêt mais qui puisent leurs racines dans l'inconscient collectif. Ainsi se promène dans cette forêt une Guiwenneth qui pourrait bien n'être qu'une réincarnation de Guenièvre/Gwenhwyfar. Chacune de ces créatures fait partie d'un ensemble et participe àla construction d'une histoire, qui se déclinera toujours et toujours au fil des siècles. Ainsi, dans notre univers, l'histoire d'Oedipe ou le conte du Graal n'ont peut-être été que les manifestations de vestiges séculaires enfouis extrêmement profonds, qui pourraient ressurgir plus tard sous une forme légèrement différente.

Il s'agit làd'une réflexion sur les mythes, qui montre en particulier que ceux-ci meurent mais finissent par renaître, différents, mais toujours liés àleurs prédecesseurs. On n'est donc pas si loin, dans ce roman de fantasy, de Freud ! Qui l'eût cru ?!

samedi 24 juillet 2004

Chez Colette...

Ce fut une riche idée que de traîner chez Colette (la boutique hype de la rue Saint-Honoré, àParis) cet après-midi. D'abord parce qu'ils avaient reçu leur lot d'iPod mini, dont je confirme le pouvoir hypnotique !! Et ensuite parce que jusqu'au 28 août la boutique est redécorée selon l'univers joyeux et facétieux de la graphiste et illustratrice Geneviève Gauckler.

L'expo de GG chez Colette

Cette artiste a commencé sa carrière en définissant la charte graphique de F communications, le label de musique électronique fondé par Laurent Garnier. Puis elle s'est fait remarquer sur le site marchant Boo.com, qui émergea lors de la bulle Internet mais n'eut qu'une brève durée de vie. Plus près de nous, elle a participé àdes clips, a conçu Kékéland (l'album concept / site Internet de Brigitte Fontaine) et a illustré la pochette de l'album des Rita Mitsouko avec l'orchestre Lamoureux. Tout cela avec beaucoup de goût et d'humour, pour un univers très "kawaï" ("mignon" en Japonais), qui se rapproche par exemple de celui de Takashi Murakami.

Une autre création de GG

vendredi 23 juillet 2004

Hitchcock/Truffaut

Pour tous les cinéphiles, le livre d'entretiens entre Truffaut et Hitchcock (Hitchcock/Truffaut, Gallimard) est un must. Non content de passer en revue la filmographie du maître film par film, François Truffaut y a longuement interrogé Hitchcock sur ses pratiques de réalisateurs, ainsi que sur certains aspects de sa personnalité qui expliqueraient cette "patte" si caractéristique. On sait que l'entretien s'est déroulé sur plusieurs journées au cours de l'été 1962, en Californie. Ce fut un projet de longue haleine, qui doit beaucoup àl'obstination de Truffaut et de sa fidèle amie et collaboratrice Helen Scott (qui assura la traduction). Il fallut notamment trouver deux éditeurs intéressés, un en France et un aux Etats-Unis, alors qu'àcette époque les livres sur le cinéma étaient rares, et qu'Hitchcock était considéré comme un cinéaste de genre et donc de deuxième classe. Or l'ambition de Truffaut est amplement justifiée avec le recul : il voulait faire un livre sur le cinéma, ce qu'il est avant tout, et mieux faire connaître l'art d'Hitchcock, ce qu'il réussit.

Hitchcock/Truffaut, Gallimard

Or Les inrockuptibles nous apprennent que ces entretiens, enregistrés avant d'être édités, vont être diffusés du 26 juillet au 27 août sur France culture, de 8h30 à9h. Il est évident que si je serai au rendez-vous devant le poste àcette heure-là, je vous encourage ày être également.

Pour plus d'infos sur Truffaut, il faut se plonger dans sa biographie écrite par Antoine de Baecque (journaliste àLibération), éditée en poche chez Folio Gallimard. On y trouvera notamment plus de détails sur cet entretien mythique entre deux monstres du cinéma.

mardi 20 juillet 2004

Le retour de l'homme-araignée

De retour de Spiderman 2, je suis plutôt enthousiaste, surtout grâce àla deuxième moitié du film qui possède plein de punch et de bonnes idées. Mais selon moi, c'est Kirsten Dunst qui sort du lot (même si Tobey Maguire est très bon, et Alfred Molina également), alors que son rôle est bourré de chausse-trappes. Chapeau, Kirsten !! Par contre, pour ce qui est de la "physique amusante" (la fusion ? "the sun in the palm of my hand" !), c'est assez risible en effet. M'enfin... Les clins d'oeil aux classiques du cinéma ne manquent pas non plus, avec au sommet de tous King kong. Et les petites trouvailles parsèment le film, comme la scène de l'ascenseur ou celle de Spiderman qui n'arrive plus àvoler ("I'm back !!... My back !!"). Un troisième épisode est déjàun chantier, mais il semble que Sam Raimi ne soit pas sur les rangs pour le réaliser. C'est bien dommage, car c'est sûrement lui qui a réussi a faire de ce film ce qu'il est, avec autant de personnalité.

Le générique de Kyle Cooper (auteur notamment du générique de Se7en), qui a nécessité un an de travail, est très beau et met en valeur les dessins d'Alex Ross (un habitué des comics). On sent bien, derrière le montage rapide et le jeu des couleurs, tout le travail de défrichage qui a pu être réalisé depuis des décennies par Saul Bass, auteur de nombreux génériques de référence, comme celui de Sueurs froides dont je ne me suis toujours pas remis !! Je reviendrai d'ailleurs un jour sur la mythologie des génériques de films (tout un art...), et sur mon top 5 personnel...

Impressions sur le festival d'Avignon

Oui, j'ai de la chance, et c'est parce que je le sais que j'ai beaucoup goûté mon week-end de 3 jours àAvignon. C'est toujours un bonheur de voir les rues de cette ville s'animer grâce aux touristes et aux compagnies de théâtre chaque année plus nombreuses. Pas d'annulation du festival cette année, mais une mobilisation qui continue, et ce n'est pas un mot en l'air : slogans omniprésents ("Abrogation, Expertise, Négociations"), affiches recouvertes, mobilisation àchaque spectacle etc.

En ce qui concerne les spectacles, j'ai énormément apprecié la performance de Denis Lavant dans Un homme est un homme de Bertolt Brecht (mis en scène par Bernard Sobel). La même équipe m'avait enchanté dans Ubu roi il y a 3 ans, et c'est sur la foi de cette seule impression qui j'ai voulu assister àma première pièce de Brecht, longue de 3h. Je ne regrette vraiment pas. Je passerai sous silence l'autre pièce que je n'ai pas aimée pour dire, en ce qui concerne la programmation off, combien le spectacle des Clones est drôle et fin. C'est du très bon burlesque musical et on passe vraiment un bon moment...

Rendez-vous l'année prochaine pour d'autres émotions théatrales. Et comme le chante Vincent Delerm :
"Dans les rues d'Avignon y'a des projets balèzes
Demain à23h j'vais voir une pièce polonaise"

La dolce vita au mois de juillet

Vu La dolce vita (1960), qui est un film absolument délicieux porté par d'excellents comédiens, dont bien-sûr Marcello Mastroianni (quelle classe !!) et Anita Ekberg. Certaines scènes sont devenues tellement célèbres (le bain d'Anita Ekberg dans la fontaine de Trevi, Marcello Mastroianni sur la plage...) que c'est un vrai bonheur de les voir enfin, et elles y gagnent encore plus de force. L'histoire peut laisser quelque peu pantois mais c'est la force des DVD que de pouvoir, grâce aux bonus, re-situer le film dans le contexte de son époque et lui donner plus de sens. Le commentaire de Michel Ciment est de ce point de vue absolument éclairant. Ainsi, on s'attache mieux àce que nous montre Fellini et qu'il a contribué àtransformer en mythes : la Via Veneta de Rome, la dolce vita, les paparazzi.

J'ai aussi eu beaucoup de plaisir àvoir jouer Magali Noël, que je connaissais seulement pour ses interprétations des chansons de Boris Vian, dont le fameux "Fais-moi mal Johnny !".

mercredi 14 juillet 2004

Un blog ? Un wub ? Un roug ?

C'est chez nous est un excellent blog àplusieurs mains, ou plutôt un "machin" comme le dit O. dans son premier billet. Pourquoi un machin ?

Je dis "machin" parce que dans un coin "blog" ça ne passe pas. Je n'aime pas le mot. Ca fait créature de mauvaise science-fiction dans les années 70. "Attention au blog", ou un truc de ce genre là, si vous avez la mémoire du navet.

En ce qui concerne le cinéma, je me rappelle juste du film Le blob (The blob, 1988, de Chuck Russell) qui met en scène cette célèbre créature gélatineuse. Par contre, la littérature S.-F. n'a pas été avare de ce genre de monstres que décrit O. En particulier, et j'y pense parce que je les ai relues il y a peu, quelques nouvelles de P. K. Dick. Mais comme toujours chez Dick, la réflexion est sous-jacente àla description du monstre. Bref, le bestiaire de Dick comprend le wub de L'heure du wub, le Roug (ou Roog en vo) de la nouvelle éponyme, les Fnouls qui sont en guerre contre les Terriens mais surtout le Blobel (traduit en français par Blobel puis par Gélate) de Ah, être un Gélate... (Oh ! To be a Blobel !, un des meilleurs titres de Dick !). Un beau bestiaire que voilà, qui ferait effectivement passer le blog que l'on connaît pour un animal bien inoffensif ;-)

mardi 13 juillet 2004

The wall, un opéra rock àla (dé)mesure des Pink floyd

Vu ce soir Pink Floyd, The wall (The wall, 1982, de Alan Parker). C'est un film marquant, qui a étonnement bien vieilli, sûrement grâce àla musique intemporelle des Pink Floyd : une suite de tableaux, reliés par la musique, par cet enfant qui revient sans arrêt et par les mêmes motifs guerre/mur/dictature/totalitarisme. Ce qu'il y a de remarquable, surtout, ce sont les séquences animées dessinées par Gerald Scarfe... On avait pu découvrir l'étendue de son talent lors de la récente expo consacrée aux Pink Floyd, àla Cité de la musique de Paris, et on vérifie bien qu'il s'épanouit àmerveille dans ce film... A voir et àrevoir, malgré la noirceur de l'ambiance et du propos !

[MàJ 14/07/04] Je viens de m'apercevoir que le générique crédite Michael Kamen àla conduction d'orchestre et aux arrangements, qui sont ici essentiels dans la sublimation des chansons des Pink Floyd. Or Michael Kamen n'est autre que l'homme qui a signé l'excellente musique du film Brazil de Terry Gilliam (1984). Un bon filon, ce The wall donc !!!

lundi 12 juillet 2004

Solidays, compte rendu

Je rentre tout juste de Solidays, et je suis fatigué mais plutôt satisfait. Voici mon bilan :
  • grand regret : Max Romeo, que j'ai raté pour être arrivé trop tard ; ce n'est donc pas aujourd'hui que je verrai mon premier concert de reggae... :-(
  • petite déception : Thomas Fersen, qui n'était pas mis en valeur par les éclairages, et dont la prestation n'était pas géniale (il s'asseyait pour chanter, sympa pour les derniers rangs !!)
  • grands moments : Bénabar, entre l'émotion et le rire, toujours en super forme ; les Têtes raides (malgré un dernier album un peu décevant), qui nous a même offert une reprise de Renaud, et donne toujours le meilleur dans Ginette ; Java, que j'ai agréablement découvert, très en forme également... ; et surtout les Fabulous trobadors, dans une superbe prestation, très efficace et nous en mettant plein la tête !!!

Qu'est-ce qu'un grand roman ou un grand film ?

Lu aujourd'hui :

"Imaginons Madame Bovary, par exemple, réduit àson histoire. Nous n'aurions plus affaire qu'àun roman de gare. Un grand roman ne se laisse pas "résumer" : c'est sans doute même le critère qui en fait un grand roman."
(J.-B. Pontalis, préface àL'inquiétante étrangeté et autres textes de Sigmund Freud)

Comment ne pas être d'accord ? Tous les livres qui m'ont marqué, de La vie mode d'emploi aux romans de Vian en passant par Ubik et Belle du seigneur vérifient cet axiome... Je pense que c'est aussi vrai pour les films (je ne citerai que La règle du jeu ou La vie est belle de Capra dont un simple résumé serait risible !!).

Bon, et alors ? Eh bien, c'est quelque chose àgarder en tête ; sinon, en feuilletant la programmation de la Cinémathèque française pour cet été, on pourrait passer àcôté de grands films comme Eve, Paris, Texas ou La strada dont les résumés donnent assez peu envie. Et je crois bien que c'est ce qui va m'arriver, puisqu'àla place j'ai sélectionné Boudu sauvé des eaux, Drôle de frimousse et Le faucon maltais. Le rendez-vous avec ces grands films n'est que partie remise, je l'espère...

samedi 10 juillet 2004

Un été de cinéma riche en super-héros

Bénédicte, qui est au Canada en ce moment, a eu la chance de voir Hellboy avant sa sortie en France, ce qui m'a rendu d'autant plus jaloux que j'attends ce film avec impatience. D'abord parce qu'il est réalisé par Guillermo del Toro dont j'avais adoré le film Mimic (1997), et ensuite parce qu'il met en scène le héros des superbes BD de Mike Mignola, Hellboy. Superbes parce que le dessin de Mignola est magnifique, et parce que ses histoires sont àla croisée de l'occulte et du gothique comme on l'aime... Pourtant, me dit Bénédicte, le film est complètement raté. "Raté comment ?", je demande, avide de détails. "Pire que Van Helsing" ! Alors là, tout s'écroule, il n'y a plus aucun espoir. En effet, Van Helsing c'est pour nous le summum du film prometteur raté, avec un super-héros d'un autre genre qui avait tout pour plaire. Pour plus de détails, je vous renvoie àcette critique du film qui exprime exactement notre opinion... Bref, ce Hellboy est apparemment une grosse déception, mais j'irai quand même le voir quand il sortira en France, le 11 août...

Autre super-héros bientôt sur nos écrans (le 14 juillet), Spiderman dans Spiderman 2. C'est làau contraire un film que je ne voulais pas du tout voir, puisque le premier opus m'avait vraiment déçu, mais pour le coup la bande-annonce est très alléchante. D'une part, Bénédicte me confirme que les acrobaties de l'Homme-araignée sont encore plus spectaculaires, et d'autre part je suis impatient de voir comment ils ont traité ce qui semble être le pitch du film, l'idée que Peter Parker ne veut plus subir sa double condition d'étudiant et de super-héros. Un dilemne qui pourrait bien rendre le film intéressant, et me pousser àaller le voir...

mercredi 7 juillet 2004

Nouvel habillage du site

J'ai le plaisir de vous annoncer qu'Enroweb a enfin trouvé son nouvel habillage, censé être plus agréable et faciliter la navigation. Ce n'est pas excessivement original mais je l'ai fait avec mes petites mains, alors...

Surtout, il est cette fois-ci plus conforme aux standards et sans tables (structure et mise en page grâce au CSS). Comme j'ai eu ma dose de HTML et CSS depuis que je bosse dessus (fin mai), je ne m'attaquerai pas àun nouvel habillage de ce blog avant la rentrée, même s'il me déplaît de plus en plus...

Enfin, c'est une évidence, mon site est visible avec tous les navigateurs, même avec Lynx (navigateur en mode texte), mais il vaut mieux utiiser un navigateur récent pourvu du plug-in Flash (extrêmement répandu). Et les navigateurs alternatifs sont conseillés (Firefox, Safari, Opera, Konqueror...) puisque certains effets disparaissent sous Internet explorer, non respectueux des standards. Voilàpour la petite cuisine, tous les commentaires sont les bienvenus.

Le contenu du site est encore maigre, mais en ce qui concerne la partie Mes passions qui est amenée àse développer, vous pouvez déjàen savoir plus sur Pierre Boulle et le docteur Georges Béchamp... Bonne lecture !

mardi 6 juillet 2004

Faut-il en rire ?

Ce n'est pas le genre de nouvelles réjouissantes, mais j'avoue avoir esquissé un sourire lorsque j'ai découvert ça. Le site Internet de mon école, l'INA P-G, était inaccessible tout la journée d'hier... Et avec un peu de chance on pouvait tomber sur ce message laconique, que j'ai capturé pour vous :

Ou comment le 'Infektion group' a piraté le site de l'INA !!

Bref, le site de l'INA qui se fait pirater, ça n'arrive pas tous les jours !!! Qui pourrait bien nous en vouloir àce point ? :-D

vendredi 2 juillet 2004

Internet et les navigateurs

J'ai vraiment pesté pour la première fois contre Internet Explorer il y a quelques jours, lorsque je me suis aperçu que celui-ci ne gère pas les couches alpha des images au format png. C'est vraiment rageant, ça m'a obligé àreprendre toutes mes petites icônes une par une...
Ce n'est pas la peine que je revienne sur la compatibilité des différents navigateurs avec les standards du web, puisque cette question a déjàété évoquée, par exemple sur Openweb. Mais il s'agit làde la face qui intéresse les webmasters. Il reste àconvaincre les internautes du bien fondé de choisir un navigateur respectueux des standards.

Alors voilà, je vous soumets deux articles, l'un donnant les raisons de choisir Internet explorer et l'autre les raisons de choisir Firefox (un excellent navigateur alternatif). A vous de faire votre choix, maintenant !!! :-D

Dans les faits, même si IE reste le navigateur le plus utilisé, on s'aperçoit que Mozilla, Konqueror et dérivés ont une progression très encourageante. Ceci est une bonne nouvelle pour les webmasters, et une mauvaise pour les hackers !!!

En ce qui me concerne, je ne suis pas peu fier de vous montrer que les internautes qui fréquentent mon site n'utilisent IE qu'à54 % !!! Et on voit un effet de la "Mac connection" par la part énorme de Safari, 29,5 % !! Merci àtous mes visiteurs donc, précurseurs en matière de navigation alternative !!!

Répartition des visiteurs de mon site selon leur navigateur

[MàJ 09/07/04] Je me permets d'ajouter qu'une excellente addresse recense tout ce qu'il faut savoir sur les navigateurs internet, avec de très bonnes informations et de très bons liens... C'est une page wiki, tout le monde est donc appelé ày apporter sa petite contribution.