Top 10 des romans à teneur scientifique lus en 2014
3
janv.
2015
J’ai lu très exactement 39 romans en 2014, ce qui est mon meilleur score depuis de (trop) nombreuses années grâce à 1/ une discipline de fer au premier semestre (me forcer à lire au moins 20 pages chaque soir) et 2/ un nouveau boulot à l’université de Bordeaux depuis le mois de juin, qui me fait asseoir dans le tramway 50 minutes par jour et me donne largement l’occasion de lire.
De tous ces romans, goût personnel oblige, un nombre non négligeable est à consonance scientifique. Voici une petite sélection personnelle de ceux dont je recommande la lecture :
N° 10 : Intuition d’Allegra Goodman (Éditions du Seuil), 2006
Voici une histoire d’amitiés et d’inimitiés dans un laboratoire de biologie, sur fond de soupçons de fraude. Ce roman est un des meilleurs représentants du courant lab lit (“littérature de labo” pour faire court), et à ce titre j’en attendais beaucoup. Il m’a un peu déçu, j’ai trouvé qu’il traînait parfois en longueur et que son écriture était sans style ou inutilement pompeuse.
N° 9 : La Vénus anatomique de Xavier Mauméjean (Le Livre de poche, coll. “Science-fiction”), 2004
Cette uchronie imagine que le médecin-philosophe du XVIIIe siècle Julien Offroy de la Mettrie participe à un concours organisé par Frédéric II de Prusse pour réaliser le “nouvel Adam”. Associé dans une drôle d’équipe avec le mécanicien constructeur d’automates Jacques Vaucanson et l’anatomiste rebelle Honoré Fragonard, il explore sous toutes les coutures la question de l’homme et de la machine. Résultat : un chouette voyage historique, géographique (de Saint-Malo à l’Allemagne en passant par Paris) et savant.
N° 8 : Cosmicomics d’Italo Calvino (Le Livre de poche), 1965
On ne présente plus ces contes où Italo Calvino s’amuse à raconter de façon si originale le big bang, la fin des dinosaures, la dérive des continents… Si original mais un tantinet répétitif à force, et parfois trop tourné vers la poésie à mon goût. À noter que mon édition est ancienne mais Gallimard a édité en 2013 un volume complet comprenant Cosmicomics, Temps zéro, Autres histoires cosmicomiques et Nouvelles histoires cosmicomiques.
N° 7 : Les Esprits de Princeton de Daniel Kehlmann (Actes Sud, coll. “Papiers”), 2012
J’ai déjà écrit tout le bien que je pensais des Arpenteurs du monde, du même auteur. Voici cette fois une courte pièce de théâtre, qui démarre avec l’enterrement du grand logicien Kurt Gödel à Princeton, en 1978. Sa veuve et ses collègues venus assister à la veillée funèbre évoquent leurs souvenirs de ce scientifique atypique et parfois dérangé qui, ces dernières années, leur a donné du fil à retordre. Kurt Gödel, ou plutôt son esprit, est présent lui aussi, pour revivre les événements de sa vie, spectateur éthéré de son évolution.
N° 6 : La Véritable Histoire du dernier roi socialiste de Roy Lewis (Actes Sud, coll. “Babel”), 1990
Roy Lewis (à qui l’on doit le célèbre Pourquoi j’ai mangé mon père) propose ici une uchronie mordante, où les révolutions de 1848 ont fait advenir une humanité socialiste. Lewis traite en long et en large de ce qu’il adviendrait alors à la science, comme je le raconte dans mon billet “De Pierre Boulle à Roy Lewis, la science (ne) fait (pas) le bonheur”.
N° 5 : CosmoZ de Claro (Actes Sud, coll. “Babel”), 2010
Claro est un directeur de collection, traducteur (de Pynchon, excusez du peu !) et auteur qui n’a peur de rien. Ainsi, ce gros roman est une fresque un peu dingue qui tisse ensemble le mythe du magicien d’Oz (le livre comme le film) et les horreurs du 20e siècle : Dorothy, Toto, l’Epouvantail, le Bûcheron en fer-blanc, le Lion poltron, la Sorcière de l’Ouest et un couple de Munchkins se retrouvent ainsi jetés dans les remous de l’histoire. Je retiens notamment quelques pages courageuses sur l’essor de la radiothérapie, les ouvrières de l’industrie du radium et la fabrication de la bombe atomique.
N° 4 : Les Insolites de René Sussan (Denoël, coll. “Présence du futur”), 1984
La plus longue nouvelle de ce recueil, “Un fils de Prométhée”, s’intéresse aux événements de l’été 1816 au bord du lac Léman, quand Percy Bysshe Shelley, Mary Goodwin (ils ne se marieront qu’en décembre), Lord Byron, sa maîtresse Claire Claremont et le Dr. John Polidori se mirent en tête d’écrire chacun une histoire mystérieuse et surnaturelle. Le résultat, pour Mary Shelley, fut nul autre que Frankenstein. Mais René Sussan imagine que sous l’influence de la théorie “l’ontogénie récapitule la phylogénie” du Pr Meckel (précurseur de Haeckel), Byron et sa compagnie échafaudent une expérimentation sur son enfant à naître en extrayant le fœtus du ventre de Claire Clairmont pour le baigner dans un milieu proche du placenta, afin de le faire se développer au-delà de 9 mois et obtenir un surhomme ; le Dr Polidori s’y oppose. Je vous laisse découvrir ce texte pour savoir si l’expérimentation aura lieu et comment elle se terminera… (Cette nouvelle a reçu le Grand Prix de l’Imaginaire en 1985.)
N° 3 : Le Prestige de Christopher Priest (Gallimard, coll. “Folio SF”), 1995
Ce roman a été adapté au cinéma par Christopher Nolan et met en scène deux magiciens qui rivalisent d’ingéniosité et de perversité pour dépasser l’autre. Avec, dans le rôle du savant fou construisant des machines infernales et entretenant l’hubris des magiciens, Nikola Tesla (joué dans le film par David Bowie !). Ce roman est captivant et bien documenté en ce qui concerne le caractères et le travail de Tesla.
N° 2 : La Fille du temps de Josephine Tey (10/18, coll. “Grands détectives”), 1951
Ce livre est présenté partout comme un grand classique du roman policier et je n’en avais pourtant jamais entendu parler, jusqu’à ce qu’il soit mis en avant sur un présentoir de la librairie Mollat. S’inscrivant dans la lignée des whodunit, il met en scène un inspecteur de Scotland Yard cloué dans son lit, qui enquête à plusieurs siècles de distance sur les atrocités (soi-disant) commises par Richard III pour se hisser sur le trône d’Angleterre. En particulier, il souhaite faire la preuve que le souverain n’est pas coupable de l’assassinat de ses neveux, les enfants du roi Edouard IV, connu comme l’affaire des Princes de la Tour. Ce livre est une réflexion extrêmement riche et intéressante sur le métier d’historien, et la méthode historiographique. Le titre est d’ailleurs tiré d’une phrase de Francis Bacon : La Vérité est fille du Temps et non de l’Autorité
.
N° 1 : Solaire de Ian McEwan (Gallimard, coll. “Folio”), 2010
Je connaissais Ian McEwan comme un auteur sérieux, auteur du troublant “Expiation” (adapté au cinéma sous le titre “Reviens-moi”), et je le découvre drôlatique. Ce roman est le portrait au vitriol d’un chercheur en physique fictif, récompensé du prix Nobel de physique et complètement infréquentable, qui essaye de revenir dans la course scientifique pour ne pas rester un chercheur has been. Certaines scènes sont d’anthologie et j’ai hurlé de rire en lisant son périple rocambolesque au pôle Nord, en compagnie d’artistes concernés par le réchauffement climatique.
Commentaires
Ta sélection de 2014, et pour moi une liste pour 2015. Le vais commencer par La Vénus anatomique;)
Cousin Antoine Blanchard, vous avez écrit
"Les scientifiques n’ont donc pas besoin de philosopher… et pourtant ils ont une “philosophie spontanée” comme l’appelle le philosophe Louis Althusser : la croyance en la réalité objective de contenus de la connaissances ; la croyance dans la capacité de la connaissance à maîtriser objectivement ces contenus ; la croyance en l’efficacité de la méthode qui produit les contenus scientifiques."
.....En manifestant la même naïveté que celle qui fut la mienne jusqu'à l'âge de 45 ans où je cessai tout à coup d'être "einsteiniste" et que mon livre de chevet.... la biographie de Banesh Hoffman devint tout à coup un outil de travail pour comprendre comment j'avais pu croire si longtemps à une pareille imposture.
Voici donc ma réponse telle que je vous l'ai adressée sur Revactu
(où la maquette est plus lisible qu'ici)
Cousin
Vous êtes aussi naïf que je l'étais jusqu'à 45 ans....
Mais non.... votre vision des physiciens correspond à leur temps de loisir..... Quand ils partent en vacances, ils ont une telle "philosophie"... ou plutôt une telle gnoséologie
"la croyance en la réalité objective de contenus de la connaissances"
Ils savent bien que leur femme (ou leur homme) et leurs enfants ont une existence réelle, une existence objective....
Ils savent que lorsqu'ils tournent la tête..... toute leur famille EXISTE réellement.
Ils savent même, lorsqu'ils restent une semaine de plus à Paris et qu'il vont rejoindre leur famille déjà partie à Mimizan ou Biscarosse en vacances... ils SAVENT QUE LEUR FAMILLE A UNE EXISTENCE SIMULTANEE à la leur....
MAIS
Mais, cette certitude ne fait pas vivre son homme.....
Cette certitude est HERETIQUE !
Et donc.... ils professent à leurs étudiants les âneries de la SECTE RELATIVISTE : le REFUS de la SIMULTANEITE, le REFUS DE L'EXISTENCE OBJECTIVE des LOIS SCIENTIFIQUES, le REFUS DE L'EXISTENCE PREALABLE DE LA SCIENCE....
Cela fait des années que je tente de faire connaître les aveux du zélotes Philippe Franck et d'inciter à relire Lénine sur Poincaré et les autres "clowns titrés professeurs"
extrait de
VENDREDI 18 JUILLET 2014
Ils fabriquent du brouillard au service des Parasites : Les mercenaires positivistes et idéalistes
MACH ET POINCARÉ :
DEUX BOUTIQUES CONCURRENTES
D'UNE MÊME AGENCE ANTIMATERIALISTE
Un de leur thuriféraires, un relativiste partisan de Einstein, successeur de Einstein à Vienne, le principal biographe (avec l'auteur de Créateur et rebelle) de Albert Einstein – Philippe Frank – a la franchise de nous le révéler :
"L'idée de Mach que les lois générales de la science sont simples résumés de faits expérimentaux, et l'idée de Poincaré que ce sont libres créations de l'esprit semblent s'opposer diamétralement l'une de l'autre. Mais si 1'on considère les courants intellectuels du dernier quart du 19° siècle, on peut voir qu'elles étaient seulement deux ailes du même mouvement intellectuel, généralement connu sous le nom de mouvement positiviste.» (Einstein, sa vie et son temps P.84 10- MOUVEMENTS POSITIVISTES ET PRAGMATISTES. LE MONDE PHYSIQUE AVANT EINSTEIN)"
Nous voilà prévenus.
Mais le même sincère charlatan va plus loin. Il va nous révéler le pot-aux-roses.
Mais, il faut informer le lecteur préalablement. Le clown blanc Frank – escroc au service de l'obscurantisme néo-berkeleyiste, avec un nez rouge de scientifique – va utiliser le vocabulaire de la secte.
Le mot matérialisme est ici remplacé par « métaphysique ». Les philosophes matérialistes sont donc appelés par ces gens là des « métaphysiciens ».
Lénine nous avait prévenu. Quand la métaphysique est – chez les vrais matérialistes la dénonciation de l'absurdité d'un « au-delà » (tel est le sens du préfixe grec « méta »), quand les vrais matérialistes considèrent donc qu'au de là de la matière (phusis = physique= la matière) …. les larbins au service des classes spoliatrices viennent semer la confusion.
Les fascistes hitlériens se disaient « socialistes » et les fascistes staliniens « communistes », les larbins du Vatican venaient au 19° siècle insulter les matérialistes en les traitant de « métaphysiciens ».
A maintes reprises, dans son ouvrage, Lénine revenait sur cette absurde caractérisation du matérialisme :
« Pour Pearson, les «choses réelles» sont des «impressions des sens» (sensé impressions).Reconnaître l'existence des choses au-delà des impressions des sens n'est, pour Pearson, que métaphysique. Pearson combat de la façon la plus décidée le matérialisme (sans connaître ni Feuerbach, ni Marx et Engels) ;. »
Les imbéciles charlatans, incapables de faire le distingo entre l'évènement (dans le réel) le signal qui voyage dans le réel pendant un délai réel et objectif et la réception (dans le réel) de ce signal.... vont donc nier le fait que l'évènement ait eu lieu AVANT toute perception et donc …. mettre en doute la réalité de l'évènement lui-même :
« Il faut dire que bon nombre d'idéalistes et tous les agnostiques (y compris les disciples de Kant et de Hume) qualifient les matérialistes de métaphysiciens, car reconnaître l'existence du monde extérieur indépendamment de la conscience de l'homme, c'est dépasser, leur semble-t-il, les limites de l'expérience.. »
Puisque votre spécialité est la biologie, vous pourrez répondre à ma "colle"
EST-CE QUE LA BIOLOGIE EXISTAIT DEJA avant même l'apparition du premier organisme vivant de l'univers ?
Naturellement, moi qui suit un VERITABLE MATERIALISTE.... je réponds OUI !
Tout comme l'humanologie, l'économie, la sociologie EXISTENT déjà..... en tant que REGLES SUPERIEURES de règles INFERIEURS inhérentes aux photons.... aux atomos depuis..... 13 milliards d'années.....
Tout comme le fait que TOUT EST ECRIT
Vous croyez- comme je le croyais en 1999 - que
"Les scientifiques n’ont donc pas besoin de philosopher… et pourtant ils ont une “philosophie spontanée” comme l’appelle le philosophe Louis Althusser : la croyance en la réalité objective de contenus de la connaissances ; la croyance dans la capacité de la connaissance à maîtriser objectivement ces contenus ; la croyance en l’efficacité de la méthode qui produit les contenus scientifiques."
Et vous vous mettez - pour ce qui concerne Etienne Klein et les relativistes... le doigt dans l'oeil....
Etienne Klein m'avait répondu "Je ne comprends rien....." quant à l'absurdité des Jumeaux de Langevin, lorsqu'il était venu au Havre.
Il n'est ni un philosophie ni un physicien.
25/08/2014
Le paradoxe des Jumeaux : les deux secrets dévoilés. (Lire Paul Langevin)
par Yanick Toutain
30/7/14
RevActu
"il sortira de son arche et trouvera notre globe
vieilli de deux cents ans si sa vitesse
est restée dans l’intervalle
inférieure d’un vingt-millième
seulement à la vitesse de la lumière."
Le texte véritable de Paul Langevin
est quasiment systématiquement truqué
avec de fausses données inventées
par d'anonymes contrefacteurs
(...)
DEUXIÈME SECRET : LE VOYAGEUR VOIT L'ETOILE 100 FOIS PLUS PROCHE
Mais alors, pourquoi cette volonté de camoufler les vrais chiffres ?
Pour une raison simple : Camoufler le véritable contenu de l'escroquerie de Langevin.
Le lecteur est prié ici de relire au fur et à mesure la page Wikipédia anglophone consacrée au Twin Paradox. Ou plutôt la page telle qu'elle existait avant censure.
Voici donc le principal secret de Langevin.
On a une étoile située à 100 années-lumière.
Cela Langevin le camoufle.
Cette étoile, située 100 années-lumière est vue par le Terrien.
Tout le monde comprendra que ce que le Terrien voit de l'étoile date de 100 ans plus tôt. Le Terrien (que les relativistes décrivent comme immobile, « at rest », « repos ») voit l'étoile telle qu'elle était 100 ans auparavant.
Mais les relativistes voient passer au-dessus de leur tête une fusée – celle du Voyageur.
La vitesse de cette fusée c'est 99,995% de la vitesse de la lumière
Et c'est à cause de cette vitesse (19999/20000 c) que le Voyageur voit l'étoile bien plus proche qu'elle n'est : le Voyageur voit l'étoile à UNE ANNEE-LUMIERE !
Les escrocs font croire au public que c'est le voyage retour qui est paradoxal !
Alors même – mais cela Langevin ne l'écrit pas – que toute la pseudo expérience commence au moment où deux personnes proches l'une de l'autre voient la même étoile à DEUX DISTANCES DIFFERENTES.
Comment est-il possible que la lumière de l'étoile soit vue à 100 années-lumière par le Terrien et à 1 année-lumière par le Voyageur ?
Sous le prétexte que le second survole le premier à une vitesse de 99,995% de la vitesse de la lumière.
Si le Voyageur voit l'étoile 100 fois plus proche qu'elle ne l'est dans la réalité, cela a deux conséquences : la première c'est qu'il va pouvoir y aller en presque une année.
Une année de voyage pour une étoile située à 1 année-lumière.
On comprend maintenant l'origine de l'escroquerie : si le Terrien voit partir le Voyageur pour se rendre dans une étoile qu'il sait située à 100 années-lumière, il faut bien trouver une escroquerie intellectuelle pour justifier le retour de ce Voyageur délirant.... 2 siècles plus tard
COMPLEMENT 1 Le texte original
Paul Langevin
L’Évolution de l’espace et du temps
1911
Scientia 10: 31–54
Extrait (source wikisource ) :
"Cette remarque fournit le moyen, à celui d’entre nous qui voudrait y consacrer deux années de sa vie, de savoir ce que sera la Terre dans deux cents ans, d’explorer l’avenir de la Terre en faisant dans la vie de celle-ci un saut en avant qui pour elle durera deux siècles et pour lui durera deux ans, mais ceci sans espoir de retour, sans possibilité de venir nous informer du résultat de son voyage puisque toute tentative du même genre ne pourrait que le transporter de plus en plus avant.
Il suffirait pour cela que notre voyageur consente à s’enfermer dans un projectile que la Terre lancerait avec une vitesse suffisamment voisine de celle de la lumière, quoique inférieure, ce qui est physiquement possible, en s’arrangeant pour qu’une rencontre, avec une étoile par exemple, se produise au bout d’une année de la vie du voyageur et le renvoie vers la Terre avec la même vitesse. Revenu à la Terre ayant vieilli de deux ans, il sortira de son arche et trouvera notre globe vieilli de deux cents ans si sa vitesse est restée dans l’intervalle inférieure d’un vingt-millième seulement à la vitesse de la lumière. Les faits expérimentaux les plus sûrement établis de la physique nous permettent d’affirmer qu’il en serait bien ainsi."
COMPLEMENT 2 : LE PARAGRAPHE QUE LES RELATIVISTES S'ACHARNENT A EFFACER (traduction automatique depuis Wikipedia anglophone)
EXEMPLE SPÉCIFIQUE DE PAUL LANGEVIN DE DONNÉES
Etienne Klein n'est même pas un humaniste
VENDREDI 13 FÉVRIER 2015
Mauvaise note pour Etienne Klein et la ministre agresseuse d'enfants Najat Vallaud-Belkacem ! Depuis le 14 juin 2014 l'escroc relativiste sait que l'agresseuse tape ses enfants de 5 ans
http://revolisationactu.blogspot.fr...
Puisque je suis ici sur une page consacrée aux livres, je signale la sortie récente d'un film tiré d'un des livres de science-fiction auquel je fais le plus fréquemment allusion (à égalité avec la scène finale des Visiteurs 1)
http://www.enroweb.com/blogsciences...
Arcadi et Boris Strougatski avaient écrit "Il est difficile d'être un dieu" en 1964
Je l'avais découvert dans les années 70
Paru à Présence du Futur en 1973
Je découvre donc la sortie en 2014 en France d'un film reprenant son contenu.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Arcadi...
https://www.youtube.com/watch?v=wdf...
Je ne sais pas si cela est à la hauteur du livre.... La Bande Annonce est quelque peu .... décevante...
Je n'ai pas vu celle-ci
https://www.youtube.com/watch?v=F7r...
Comme je découvre aussi l'existence d'un film précédent que je n'avais pas vu non plus.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Un_die...
Et dont je viens de trouver une version sous titrée anglais
https://www.youtube.com/watch?v=3Gi...